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methaniseurs

Méthaniseurs, faut-il continuer ?

Le défi de la transition écologique fait naître des projets et des idées.

Pour sortir des énergies fossiles, on tente de développer des alternatives.

Les méthaniseurs font partie des pistes explorées.

Ce sont de grandes cuves dépourvues d’oxygène qui transforment des déchets organiques, – végétaux et animaux – en biométhane par fermentation.

La matière organique utilisée vient des villes, notamment des déchetteries, des déjections des animaux d’élevage, des déchets végétaux de ferme, etc.

Certaines exploitations agricoles complètent leur activité en y associant un méthaniseur.


Tout est bon dans la vache !

Les vaches de ces fermes produisent :

  • du lait ;
  • des déchets dont on fait du biométhane ;
  • du digestat : le résidu organique des déchets non utilisés pour faire du biogaz qui sert alors de fumier.

De son côté, l’agriculture y gagne un complément de revenu substantiel. En Allemagne cette nouvelle manne a même conduit à une course à la méthanisation des fermes1.

Toutefois, les investissements nécessaires au projet sont tout de même lourds et n’auraient peut-être pas pu se faire sans d’importantes subventions publiques1.

 

La France s’y met 

Longtemps réservé à nos voisins allemands, l’eldorado des vaches à méthane nous tend désormais les mains.

En mars 2013, l’ancien ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, avait fixé le cap : il fallait 1000 méthaniseurs en France en 20202.

A terme, le gouvernement de l’époque souhaitait qu’en 2030, 10% du gaz utilisé en France soit issu de la méthanisation, voire 30% en 20502.

La France compte à ce jour 646 installations et de nombreux dossiers sont actuellement à l’étude3.

L’Allemagne, elle en compte près de 10 0002.

Mais en France, de plus en plus de voix s’élèvent contre le développement de cette filière industrielle qui n’est pas sans inconvénients.

Ça pue et ça pollue !

Pour faire fonctionner les méthaniseurs à plein régime, des déchets de l’industrie agro-alimentaire et des boues de station d’épuration sont utilisés, avec leur plastique et leurs métaux lourds, qui sont ensuite mélangés aux effluents agricoles.

C’est un scandale !

Imposons des limites pour que cette technologie reste une idée brillante.

Odeurs et émission de gaz

Sans grande surprise, ces installations dégagent des odeurs pestilentielles.

C’est évidemment très désagréable pour les riverains.

Mais c’est aussi un problème environnemental.

Ces mauvaises odeurs indiquent que des gaz s’échappent des sites.

Est-ce du méthane qui émet 25 fois plus d’émissions à effet de serre que le CO2 ?

Est-ce du sulfure d’hydrogène hautement toxique et hautement corrosif – donc dangereux pour l’installation elle-même2 ?

 

Mauvaise maîtrise des installations

Sur certains sites mal implantés, les déchets organiques nécessaires à la production de biométhane manquent.

Le bon fonctionnement de la cuve nécessite alors des apports extérieurs venant parfois de plusieurs centaines de km2…

Sur ces sites, des dizaines de camions doivent remplir les cuves tous les jours.

A quoi bon développer des alternatives qui dépendent aussi massivement du pétrole ?

Par ailleurs, certains sites ont subi des explosions ou des incendies3.

Enfin, les résidus organiques des méthaniseurs, le fameux digestat destiné à être épandu sur les terres agricoles, est liquide.

Ce digestat est composé pour l’essentiel d’azote ammoniacal, très sensible au ruissellement.

Il va donc dans les champs mais aussi dans les ruisseaux alentours et les nappes phréatiques.

Or une trop forte concentration de ce produit est toxique.

Ce n’est bon ni pour les poissons, ni pour ceux qui s’aventureraient à boire de cette eau…

La filière est-elle vraiment maîtrisée en France ?

 

Accaparement des terres et des ressources agricoles 

Les limites du système ne s’arrêtent pas là.

Certains s’inquiètent de voir une augmentation de la surface agricole utile dédiée au méthane.

En Allemagne, 7% de la surface agricole lui est consacrée.

En effet, de grandes entreprises se sont jetées dans la course au biogaz.

Elles ont accumulé des terres agricoles pour y implanter de grandes usines à méthane4,5.

La demande en fourrage a considérablement augmenté.

En Basse-Saxe, par exemple, des territoires entiers ont été transformés en vastes champs de maïs, parfois au détriment de petites fermes bio1.

Ces immenses étendues de monoculture nuisent à la biodiversité et nuisent à l’agriculture tout court !

Faut-il passer la souveraineté énergétique avant la souveraineté alimentaire ?

Retrouvez ici les arguments de ceux qui s’opposent à la méthanisation de l’élevage.

Le tout est peut-être de trouver un juste milieu entre le modèle ultra-industrialisé allemand et le refus total de ces installations.

Solidairement,

 

Julien

 

P.S. : Vous avez déjà signé cette pétition ? Faites passer le message à votre entourage : transférez tout simplement cet email à vos contacts ou partagez cet article sur Facebook en cliquant ici.

P.P.S. : vous voulez réagir à cet article ? Evoquez votre ressenti lors de la signature de la pétition ou cliquez ici pour laisser un commentaire au bas de cet article.

Pour faire fonctionner les méthaniseurs à plein régime, des déchets de l’industrie agro-alimentaire et des boues de station d’épuration sont utilisés, avec leur plastique et leurs métaux lourds, qui sont ensuite mélangés aux effluents agricoles.

C’est un scandale ! Imposons des limites pour que cette technologie reste une idée brillante.

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31 Comments
Commentaires en ligne
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Bernard
3 années il y a

Le monde est dirigé par le fric et sera toujours dirigé par le fric.
Si un méthaniseur pue c’est qu’il est mal réglé, un contrat d’entretien devrait être rendu obligatoire. L’effluent sortant appelé digesta est stocké dans des cuves ou la méthanisation se poursuit et qui par souci d’économie ne sont pas couvertes ni étanches. De plus ce digesta toujours par souci d’économie est répandu à la saison préconisée sous forme liquide sans traitement final. Hors un traitement final existe qui permet d’obtenir d’une part un compost normalisé N rétenteur d’azote et des métaux lourds et d’autre part de l’eau limpide et aseptisée, et ce traitement est rentable. Mais les banques limitent le risque et ne prêtent pas pour ce complément de traitement final.

Le problème du traitement des déchets urbains. Le traitement de la partie dite organique des centre de tri des ordures ménagères, à cause des quantités importantes de minéraux et de matières plastiques résiduelles n’est pas très facile dans les digesteurs et source d’un mauvais malaxage donc d’un mauvais fonctionnement. Mais si après séparation des phase elle est suivi par un traitement de la phase solide et d’un traitement de la phase liquide comme décrit ci-dessus le problème écologique peut être résolu. Il faut reconnaître en contrepartie que c’est une des meilleures solutions, écologique et rentable, de se débarrasser des ordures ménagères. A noter que l’on peur également se débarrasser par la même chaîne des boues de station et de l’effluent des latrines.

Pour ceux qui critiquent la production d’énorme superficies de maïs pour la méthanisation notez que:
Une hectare de maïs de par sa végétation luxuriante assimile beaucoup plus de CO² que la plupart des cultures traditionnelles ou une forêt de feuillus.
Les déchets urbains ne sont pas assez riches en carbone pour être méthanisés seuls et doivent être mélangés à des végétaux, souvent du maïs qui est la plante la plus rentable. Mais il est vrai que l’on pourrait remplacer une grande quantité de maïs par les résidus de la tonte, de la taille des arbustes et de l’éparage des bords de route et espaces verts.
Les compagnies qui distribuent les gaz médicaux souhaitent une origine verte des gaz, et pour cela une base exclusivement en maïs bio.

En conclusion les solutions pour rendre la méthanisation vraiment écologique existent et elles sont rentables. Mais comme nos banquiers se font tirer l’oreille, Il faut pour ce faire créer des unités mixtes ou le privé apporte le financement bancaire de la méthanisation et le secteur public une subvention suffisante pour financer le traitement final. A noter que le secteur public a tout à gagner dans ces projets car il se débarrasse écologiquement de ses déchets et n’a plus les frais de traitement à payer. De son côté le privé retire un petit bénéfice de la vente de ses produits écologiques et stabilise de l’emploi rural.
A noter que le méthane épuré est revendu aux entreprises gazières ou transformé sur place en électricité injectée au réseau public et en eau chaude par cogénération si besoin est, par exemple pour le chauffage de serres.

Les Kmers verts qui dénigrent tout sans connaitre le fond ni la globalité des problèmes ne sont pas mes amis, et je ne signerai pas cette pétition idiote, vous l’aurez compris.

Gardons en mémoire que les solutions existent et peuvent être à la fois rentables et écologiques pourvu que l’on veuille bien s’en donner politiquement la faisabilité.

Bernard

marie france teyssandier
3 années il y a

moi je suis pour le méthaniseur.
Je vous dis pourquoi :
j’habite dans une région où il y a une multitude de grands élevages de canards en batterie. Ces éleveurs épandent le lisier sur leurs terres agricoles je ne vous dis pas l’odeur, une horreur, de plus ils choisissent toujours pour épandre lors des pluies, çà dégouline partout dans les fossé etc..

Elsen
3 années il y a

Prudence,en effet une étude de l équilibre total du processus est nécessaire,et effectivement,attention au digestat….a chaque fois que l être humain modifie l équilibre d une chose il apparait derrière beaucoup de soucis…ceci dit on s obstiné a chercher de l énergie,quand envisagera t on de réduire très nettement nitre consommation….belle journee

longer françoise
3 années il y a

entièrement d’accord avec votre conclusion. C’est une bonne idée à condition de ne pas laisser le « Marché » faire n’importe quoi comme il en est hélas capable la plupart du temps.

Evelyne Herbau
3 années il y a

Bonjour, ce que je trouve néfaste c’est l’industrialisation de cette technique et qui la rend suspecte à mes yeux. Certaines exploitations agricoles utilisent la méthanisation pour leurs propres besoins, il faut s’en tenir là et les aider à financer leur installation. Les industriels ne pensent qu’à leur propre intérêt et non à l’intérêt général. La protection de la planète ?: Le cadet de leur souci ! Il faut donc encadrer sérieusement et vite la méthanisation.

caroline calvez
3 années il y a

Il y a également d autres problématiques
Les déchets organiques qui rejoignent la merhanisation étaient auparavant pour une grande part répandus directement sur les champs. Riches en carbone, il permettaient un enrichissement des sons en matière organique et ainsi de favoriser la biodiversité du sol et de stocker du carbone dans les sols
Concernant les digestifs très riches en azote facilement disponible et donc lessivable, ils ne devraient pas être répandus à l automne sinon ils retournent dans l eau souterraine ou superficielle, faute d être utilisés par la végétation. De plus s ils ne d’o t pas enfouis directement dans les sols, ils entraînent des risques de volatilisation de l azote dans l air avec une pollution de l air très importante (cf ce printemps la pollution de l air due aux épandages et malgré le confinement).

christophe sanz
3 années il y a

Bonjour,
Il serait peut-être temps d’aller visiter une unité de méthanisation avant de commenter sur le sujet, une unité de méthanisation lorsqu’elle est entretenue n’émet pas d’odeur, de plus elle fait l’objet d’un classement comme site sensible et a se titre doit être contrôlé .
Donc avant de crier au loup renseignez-vous !

AC30
3 années il y a

Si je suis assez d’accord dans l’ensemble avec le texte qui accompagne la pétition, je ne le suis pas avec l’intitulé de la pétition elle-même… Il ne faut pas arrêter les méthaniseurs, bien au contraire, mais il faut certainement les encadrer, s’assurer qu’ils fonctionnent correctement, faire attention aux métaux lourds (essayer de les concentrer pour éviter de les épandre sur des terres agricoles ? Eviter de mélanger les eaux d’écoulements chargées en métaux lourds avec nos déjections dans les systèmes d’assainissement ?) et surtout bien prendre garde à ce que la production de méthane ne devienne pas l’activité principale, comme cela semble devenir le cas en Allemagne. Les méthaniseurs doivent servir à éviter que le méthane sous-produit par diverses activités (nos propres déjections, celles des animaux d’élevage, nos poubelles) s’échappe tout seul dans l’atmosphère, mais je pense que c’est une très mauvaise idée de laisser le méthane passer de sous-produit à produit principal. Avoir des élevages (vaches, porcs, volailles, qu’importe) dont le produit principal serait le méthane (au lieu du lait, de la viande et des oeufs, qui deviendraient alors des sous-produits du méthane) est une hérésie, tout comme passer des chênes entiers à la moulinette pour en faire des granulés de bois au lieu d’en faire du bon bois d’oeuvre. Cela revient à un énorme gaspillage de vie animale (autant fabriquer le méthane directement à partir du foin…). C’est produire beaucoup d’entropie (de désorganisation) sans raison valable.

MC BAclet
3 années il y a

Aucune preuve scientifique n’étaye votre propos , ce n’est donc pas plus crédible que ces discours de nos politiciens

ninnmer philippe
3 années il y a

messieurs

Avec tout le respect que je vous doit Quand ont ne sait pas de quoi on parle ont devrais se taire c(est toujours mieux que de raconter vos tonnes de conneries
vous n’êtes pas sans savoir que la lumière est plus rapide que le son c’est pour cela que certaine personne peuvent paraitre trés intelligentes jusqu’au moment ou elles ouvrent leurs bouches ou prennent le stylo
A bon entendeur salut

evie62
3 années il y a

je voudrais savoir si en faisant cela ça veut dire que les vaches n iront plus jamais a l air libre auront elles toujours cette vie de merde enfermées produire être séparées de leur petits

philippe ILLINGER
3 années il y a

Les méthaniseurs puent et polluent ? Uniquement si ce n’est pas fait dans les règles de l’art !!! De plus, un véritable conducteur de digesteur, VERIFIE ses intrants, et le laisse certainement pas passer les plastiques…Quand aux métaux (sauf les toxiques) ils sont rendu disponibles à la flore microbienne, parce que digéré !!! Enfin, il est plus intelligent de mettre en oeuvre une méthanisation, plutôt que de laisser le méthane partir dans l’atmosphère, ce qui est le cas actuellement si rien n’est fait (compostage/station d’épuration/assainissement autonome/ et j’en passe…) !!!

Jroche
3 années il y a

Je me pose des questions ; les boues des stations d’épuration vont bien quelque part? alors est ce un mal de les utiliser ? Les éléments lourds qu’elles contiennent sont de toute façon présents.
Si on veut devenir moins dépendants des energies fossiles il faut utiliser les autres idées.
Mais je suis ok pour les faire progresser et surtout empêcher leur sur-installation sous couvert d’opportunité fiscales et leur production à l’autre bout du monde.
Vaste sujet qui concerne de facto la grandeur des villes et leur rejets. Pourquoi ne pas faire une pétition contre les mégalopoles? et contre la désertification des campagnes /petites et moyennes villes?
Ne serait il pas plus facile de traiter ces problèmes si ils restaient à taille humaine?
De faire du pré-cyclage plutôt que du recyclage…

Pierre Abelé
3 années il y a

C’est sur nous allons tous mourir un jour (le plus tard possible de préférence), mais nous ne voulons pas baisser notre confort. Alors il faut choisir, voir plus loin que le bout de son nez. Je m’étonne que les censeurs ne dénoncent pas encore les inconvénients de la pile à hydrogène.

Marie DORVEAUX
3 années il y a

C’est choquant de la manière dont vous qualifiez les vaches, aucune empathie, « tout est bon dans la vache ». Vous semblez ignorer à quel point ces animaux d’élevage, dès leur naissance, sont maltraités, torturés, puis tués dans des conditions jamais connu jusqu’ici. Vous n’êtes pas sensé l »ignoré Julien, à moins de les considérer comme des objets.

Dyon JM
3 années il y a

Comme la langue d’Esope, la méthanisation est la meilleure et la pire des choses !
Ce n’est pas vrai que « ça pue » si l’installation est correctement entretenue.Et n’oublions pas que si on ne met pas les lisiers en méthaniseur, ils émettent DANS l’ATMOSPHERE le méthane qui de toutes façons se forme : donc on réchauffe le climat à raison de 28 fois plus que le CO².
Ensuite, la réglementation exige que les méthaniseurs n’utilisent pas plus que 20% ( variables selon les autorisations) de cultures « dédiées ».. La Confédération Paysanne a fait un numéro de sa revue
( Campagnes solidaires) sur le sujet : des méthaniseurs pour l’agriculture paysanne sont parfaitement valables …et lorsqu’on n’utilise pas le gaz directement on peut fabriquer de l’électricité avec ! ce qui malheureusement conduit à des aberrations comme « la ferme des 1000 vaches » dont la rentabilité est obtenue par l’électricité au détriment de l’environnement et du bien être animal !

ADEDE31
3 années il y a

La solution pour une transition est la diversité des sources de production d.energie, tout à un impact mais en étant intelligent et exigeant on peut limiter ces impacts, si on calculait en cycle de vie on prendrait d.autres décisions, par exemple une centrale nucléaire produit plus de CO2 qu.une centrale au gaz sur sa vie entière construction, production et dementelement, les panneaux photovoltaique sont produits à l’autre bout du monde, on ne sait pas les recycler mais on s’en fout c’est pas chez nous, les éoliennes ont aussi des impacts et maintenant elles ne sont plus qu.en acier et on envoie ailleurs les parties qu’on ne sait pas recycler ….. j’en passe et des meilleures …. et on continue à augmenter nos besoins en énergie juste pour Internet …. pour réussir il faudrait être capable et avoir la volonté d’être réellement intelligent et non influencé par le fric mais là je reve d’un autre monde …. la diversité dans tous les domaines est un atout ….

Caroline Marchais
3 années il y a

c’est vrai qu’une centrale nucléaire qui explose c’est tellement plus rassurant! Si Greenpeace y rentre si facilement, des terroristes aussi. La méthanisation est comme le reste, ça peut être bien utilisé ou pas, tout dépend du projet. En tout cas c’est un pas vers un gaz renouvelable, avec des déchets qui existent et qui puent de toute façon.

Guth
3 années il y a

Quel jeu jouez-vous ? Je trouve que c’est un substitut très prometteur. Ça ne « pue » pas lorsque l’industriel s’équipe correctement et c’est un bon substitut aux énergies fossiles dont on a abusé .

babe
3 années il y a

on veut nous faire croire que c’est pour la planète seulement est ce que l’impact des tracteurs ou des camions portant les déchets ou le fumier sur des kilomètres a été calcules cela serait étonnant sans compte les dégâts des engins sur les routes et pour finir de rependre du compost qui n’a plus aucune matière organique c’est a dire qui n’apporte rien a la terre arrêtons de faire n’importe quoi et surtout de copier n’importe qui

Pourquoi créer une pétition ?

Il est important et nécessaire que les opinions et valeurs des citoyens soient prises en compte en permanence et pas uniquement au moment des échéances électorales.

Une pétition est un moyen d’action efficace, pour que les citoyens reprennent le pouvoir sur les combats qui leur semblent justes.

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