Qui n’aime pas les ours blancs ?
Ces animaux majestueux sont avec le panda des grands symboles de la protection de l’environnement et de la lutte contre le réchauffement climatique. (1)
En effet, habitants esseulés de la banquise de l’Arctique, ils parcourent à longueur de journée d’incroyables traversées pour se nourrir.
Serial killer de phoques
Ils sont omnivores. Ils mangent de tout et peuvent être charognards à l’occasion.
Néanmoins, ils restent surtout carnivores (à 90%) contrairement à leurs cousins ours brun dont le régime est surtout végétarien. (2)
L’ours blanc raffole surtout de phoques.
Mais le phoque marbré est de loin son préféré. (3,4)
Ce petit phoque de 60 kg ressemble exactement à l’idée que vous vous faites du phoque typique. Il est adorable ! (5)
C’est lui qui sert de modèle pour les peluches et c’est sûrement lui que Brigitte Bardot aime tant.
Pour l’ours blanc, c’est une proie facile à tuer : un bon coup de croc, voire de patte, suffit. (1)
Encore faut-il l’attraper ! Lorsque les températures montent la banquise s’effondre et les phoques sont davantage dans l’eau.
La chasse devient plus difficile. L’ours ne réussit qu’une fois sur 20, soit deux fois plus qu’en temps normal.
Dans tous les cas, le nombre de ratés est impressionnant ! Le phoque marbré garde ses chances.
Le géant de l’Arctique
L’ours polaire peut s’attaquer à d’autres proies plus grosses comme le phoque barbu qui pèse 400 kg, voire des bébés morses ou bélugas.
À défaut, il peut également pêcher le poisson, ses griffes servant de harpon pour l’occasion.
À l’occasion, il peut aussi manger un renne, des œufs et même des oiseaux. Mais rien de tout cela ne vaut les phoques dont la graisse le nourrit pour plusieurs jours.
L’ours polaire est un géant qui pèse entre 400 et 600 kg pour les mâles. Ils mesurent plus de 3 mètres de long ! (5,6)
Le plus grand spécimen capturé aurait même pesé plus d’une tonne !
Et attention, malgré sa masse, il vous battrait toujours à la course. Il atteint les 50 km en vitesse de pointe. Bien joué, l’ours blanc ! (6)
Les femelles sont deux fois plus petites. Elles pèsent entre 200 et 300 kg sauf en période de gestation. (6)
C’est l’un des plus grands carnivores terrestres avec son cousin le Kodiak, un ours brun qui vit sur des îles au large de l’Alaska et pèse 800 kg ! (7)
Pourtant, à sa naissance, il ne pèse que 600 ou 700 g ! (6)
Chacun qui se documente sait que la population d’ours blancs a augmenté considérablement depuis la seconde guerre mondiale, et devient gênante dans certaines contrées. Malgré les clichés de la presse et autres mythes urbains des pays développés, pas besoin de s’inquiéter : il y a beaucoup de causes qui passent avant !
Comme la plupart des gens j’adore les ours blancs – les ours tout court!
Alors merci pour ces informations utiles.
En effet, l’étude que vous mentionnez est une très rassurante nouvelle pour l’espèce – comme quoi les animaux sont capables de s’adapter aux changements dus à surtout « la bêtise humaine »!
« Les ours polaires sont non seulement victimes de l’extraction massive de matières premières mais ils subissent aussi les assauts de polluants chimiques et du tourisme arctique
En tant que citoyen nous ne pouvons agir sur les deux premiers points, par contre le tourisme nous concerne tous, alors pourquoi, ne pas donner plus d’informations sur l’impacte du tourisme ? Les amis que je connais qui y sont allé, sont scientifique ou amoureux de la nature, ….
Idem pour le whale watching l’impacte sur les baleines est très négatifs. Mais personne n’a envie d’en parler, car ce tourisme est important économiquement pour les uns et les autres. Tant que ceux qui font de l’écologie ne se mouillerons pas plus en donnant des informations comme ici sur l’impacte du tourisme en Articques.
Et qu’en est il de ces bateaux usine de pêche ? Pourquoi on n’en parle t-on pas ?
Leurs bilan est catastrophiques, ils suffiraient que les gens soient mieux informé et laisser le poissons aux gens pauvres qui vivent en bordure de mer, et qu’ils ne pêche que ce qui est nécessaire pour eux. Pour sauver la mer, il suffirai de ne plus manger de poissons de crustatcés. ce n’est pas si compliqué ! Ils ont fait l’essaie en Californie en 5 ans la vie revient.
Même les scientifique qui travail pour la conservation des océans n’en parle.
Commencer par informer les gens même si cela est gênant, sans quoi on continuera aveuglement.
Tient, on n’aime pas le débat sur Les lignes bougent ?
Mon commentaire ( très respectueux) qui n’est pas dans la ligne (sans jeu de mot) n’est pas publié !
On va ensuite se gargariser des mots galvaudés de « démocratie », d’espace de « libre expression », et autres sucreries intellectuelles destinées à endormir les foules.
Pour qui roulez-vous ?
Le formatage des esprits auquel vous contribuez va vite trouver sa limite, le jour (assez proche) où les gens comprendrons qu’on les a enfumés sur toute la ligne (celle-là, elle n’a pas beaucoup bougé).
La critique acerbe du journaliste et analyste américain Evgeny Morosov tient toujours, lui qui fustigeait en 2014, « pour tout résoudre, cliquez « ici » (éditions FYP) !
beaucoup d’anthropocentrisme dans cet article :
Idylle, violemment, vicieusement etc
Dommage.
« crois ou meurs », cet article est bien joli mais s’inscrit bien devant l’évolution des espèces, l’homme de cromagnon aurait surement applaudi devant la disparition des félins à dents longues, des mamouths ou autre dynosaure qui lui pourrissaient la vie et encore faut-il relativiser , les pauvres bêtes avaient faim ! tout cela pour dire : doit-t-on s’interroger sur un réchauffement climatique anormal ? vu les sommes dépensées , c’est OUI mais j’aimerai être centenaire pour le voir et l’immédiate actualitéla question c’est : la nation Française est-elle en danger ? pour moi c’est OUI et si nous ne faisons rien, nous aurons la guerre civile au vu de tous les attentats au couteau perpétué par des fous… de dieu cela ne va plus tarder.