L’équipe Les Lignes Bougent donne la parole à :
Julia MIALLET, présidente de PachaGaïa,
Un constat
« Il est important de parler de fonte du permafrost, de déforestation, de pollution des micro-plastiques, mais il est également important de parler des atteintes environnementales présentes sur notre territoire, dans notre pays, à côté de chez nous. »
PachaGaïa a émergé en avril 2020 dans l’esprit de deux femmes engagées sur le sujet de la justice environnementale et sociale, Julia Miallet et Manon Dalichoux. L’objectif est de rassembler de nombreux travaux, recherches et informations liés aux préjudices écologiques sur le territoire français.
L’idée est née durant la période de confinement liée à la pandémie de coronavirus. En effet, nous avions déjà conscience de certains problèmes sanitaires et écologiques engendrés par le changement climatique, mais face à cette crise d’envergure inédite, nous nous sentions encore plus impuissantes.
Nous avons alors entamé une démarche de recherches et de questionnements, qui nous a amenées au constat suivant : un grand nombre d’analyses et de documents sur le dérèglement climatique sont disponibles, ainsi que sur ses impacts sur l’environnement et leurs conséquences ; cependant, il reste difficile face à un nombre aussi important de données de pouvoir en tirer des conclusions rapides, et de pouvoir les exploiter efficacement.
Notre second déclic a été le visionnage du documentaire There is something in the water co-réalisé par Elliot Page à propos de trois communautés en Nouvelle-Écosse qui militent pour leur droit fondamental d’accès à de l’eau potable, qui est violé. Ce reportage nous a poussé à faire des recherches et à nous interroger sur des cas similaires présents en France.
De l’information à l’action
- Communiquer sur les concepts de préjudices écologiques et d’injustices sociales ;
- Rendre accessible les informations et avoir des outils communs ;
- Réaliser de la vulgarisation scientifique, juridique et écologique.
la fin des temps bien engagée, Jésus revenant incessamment,(voir la bible,),je crois que le c’est plutôt le moment de sauver son âme que de tenter de sauver une terre condamnée à passer!j’ai été écolo de la première et sais de quoi je parle!bon courage les terriens de la dernière heure….
Voilà déjà longtemps que je souhaitais évoquer le sujet des bâtiment agricoles, fabriqués avec de l’amiante, laissés à l’abandon. J’ai constaté ce phénomène voilà déjà plusieurs années en Bretagne, Sur les routes de campagnes, j’en vois au moins tout les km. Je ne sais pas ce qu’il en est dans les autres régions de France. De nouvelles contrustion sont montées autour et les anciennes restent à l’abandon, s’écroulant, recouverts par les friches. Quand sera t’il de ces parcelles,du bétail, des nappes phréatiques d’ici peu?
Merci pour votre combat.
Je suis très …très intéressé à ce que vous faites,