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Rapport du Giec, où en est-on ?

Le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), qui produit des rapports sur la situation climatique, a été créé en 1988.

Cet organisme rassemble des experts du monde entier, envoyés par leurs Etats.

Son mandat est d’évaluer la situation climatique de la planète.

C’est ce groupe d’experts qui fait, si je puis parler ainsi, la pluie et le beau temps sur les prédictions climatiques.

Une institution internationale pour évaluer le climat 

Le Giec produit un grand rapport tous les 5 ans. Le dernier date de 2014 et le prochain doit sortir en septembre 2022. (1)

Ce sont des cycles d’évaluation qui portent sur trois grandes thématiques :

  • les éléments scientifiques ;
  • incidences, adaptation et vulnérabilité ;
  • atténuation du changement climatique.

Nous sommes actuellement dans le 6e cycle d’évaluation du GIEC.

En Août 2021, le groupe de travail sur les éléments scientifiques a rendu son premier rapport.

En Février 2022, c’est le 2e groupe de travail qui a publié le fruit de son travail. Ce document accessible sur le site Internet du GIEC contient à lui seul près de 3000 pages ! (2)

Heureusement, un résumé a été prévu pour les responsables politiques. Il tient en 64 pages. Ouf !

Le dernier groupe de travail s’est réuni en avril et devrait partager ses résultats durant l’été.

La synthèse générale sera donc rendue en Septembre prochain.

Que nous apprend le rapport de février ? 

Les émissions de gaz à effet de serre ont continué à augmenter pour tous les gaz concernés notamment le méthane et le CO2. (3)

C’est en Asie que l’augmentation est la plus forte. En Europe et aux Etats-Unis, elle stagne.

Ce n’est pas une surprise : les pays occidentaux ont délocalisé la production de la plupart de leurs biens de consommation courante en Asie.

Les téléphones, les voitures, les jouets, etc. tout cela est produit en Chine, en Malaisie, en Thaïlande, etc.

Le rapport toutefois souligne l’utilité des politiques et des législations menées contre les émissions de gaz à effet de serre.

Selon les experts, la situation serait pire si rien n’avait été fait. (3)

Les experts réclament une action urgente

Le rapport met en avant différents scénarii.

Dans le pire des cas, personne n’est sûr qu’il y ait un 7e cycle d’évaluation des experts du GIEC !

Les scénarii moins alarmistes prévoient une amélioration d’ici 2030 ou 2040 si des efforts supplémentaires sont consentis par les Etats et les populations.

Toutefois, si rien ne changeait d’ici 2025, il y aurait un risque que la température de la planète augmente de manière irrémédiable, ce qui inquiète les experts. (3,4)

Le problème, c’est que dans l’ensemble, l’humanité ne semble pas partager l’inquiétude des chercheurs du GIEC.

Entre les confinés de Shanghai, les victimes de la guerre d’Ukraine, les problèmes d’approvisionnement alimentaire ou énergétiques, tout le monde a la tête ailleurs.

Et de plus en plus de citoyens contestent les conclusions du GIEC.

Le réchauffement climatique est-il un prétexte ? 

Autour de moi beaucoup de personnes refusent de s’inquiéter davantage du réchauffement climatique.

Beaucoup considèrent que le changement climatique sert essentiellement aux grands de ce monde à faire peur aux autres et à limiter ainsi leur liberté.

Par ailleurs, les travaux du GIEC, malgré tous les chiffres, et toute la bonne volonté des chercheurs cachent des d’âpres combats politiques.

Car d’un pays à l’autre les positions par rapport au réchauffement climatique varient.

Tout le monde n’est pas touché de la même manière. Les peurs ne sont pas les mêmes et les intérêts non plus.

Ainsi les Australiens seraient inquiets d’avoir à fermer les centrales à charbon. (5)

L’Arabie Saoudite, elle, s’inquiète des efforts pour décarboner l’économie mondiale. Ses exportations de pétrole en pâtiraient… (5)

La Norvège, à la pointe des techniques de capture du CO2 et pays très riche, souhaiterait que ces techniques soient mentionnées par les experts.

Le Brésil et l’Argentine défendent la viande de bœuf…(5)

La France et d’autres défendent le nucléaire.

Bref, tout le monde défend son bifteck !

Qui s’intéresse encore au réchauffement climatique ? 

Ce qui est vrai des Etats, l’est également des citoyens.

Tout le monde a mieux à faire dans l’immédiat que de chercher à contrer le réchauffement climatique.

Pourtant ce réchauffement pourrait avoir des conséquences graves pour de nombreux citoyens : tempêtes, sécheresse, enfoncement des villes, élévation du niveau des mers, multiplication des feux de forêt, transformation de la faune et de la flore, manque d’eau, migrations et guerres diverses, etc.

Mais,

  • si vous habitez à l’intérieur des terres, la montée des mers ne vous concerne peu ;
  • si  vous habitez au Canada ou en Sibérie, le réchauffement de la température est une bonne nouvelle ;
  • si vous habitez dans un pays en guerre, en crise ou en voie de développement, le réchauffement climatique n’est pas forcément votre priorité.
  • Si vous êtes en ville, vous ne vous sentez peut-être pas concerné par l’agroécologie ;
  • Etc.

Finalement, seuls les habitants des petites îles du Pacifique et des Caraïbes ont un intérêt direct et immédiat à s’investir dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Pour eux, il s’agit d’une question de survie à court ou moyen terme.

Pour les autres, c’est une question à moyen ou long terme. Cela leur paraît trop loin.

Proposer une vision écologique plus large et plus concrète pour susciter l’enthousiasme 

Pourtant, les efforts que l’on fait aujourd’hui permettent de limiter ceux de demain.

Par exemple, les bâtisseurs de la grande muraille verte du Sénégal : botanistes, jardiniers, agriculteurs, etc. plantent des arbres sur une vaste bande de terre qui part de la Casamance.

Cette bande verte permet de faire reculer le Sahel. Elle maintient l’eau dans la terre, permet d’éviter l’érosion et lutte contre le réchauffement climatique.

À moyen terme, ce projet permettra de nourrir leurs enfants. Ce n’est pas un détail !

Ce projet ambitieux est censé aller jusqu’à Djibouti de l’autre côté de l’Afrique mais les avancées du projet sont inégales.

Dans les zones de guerre et d’instabilité politique, il est au point mort.

La lutte contre le réchauffement climatique ne peut avoir de sens pour les citoyens que s’ils y trouvent leur compte rapidement.

Il est temps d’intégrer la lutte contre le réchauffement climatique dans un cadre écologique et économique plus large.

La terre est notre maison, ou plutôt notre jardin. Nous avons tous intérêt à en prendre soin !

Cela passe par :

  • moins de béton : la fabrication du ciment, l’un des constituants du béton, serait responsable de 7 à 8% des gaz à effet de serre. Par ailleurs, la bétonisation des villes, villages, littoraux et bord de rivière menace les écosystèmes, englouti des terres arables et peut favoriser l’érosion ;
  • la suppression du plastique qui pollue les rivières et les océans et menace la santé animale et humaine ;
  • l’amélioration de la qualité de l’eau  ;
  • la dépollution de l’air ;
  • la protection de la faune et de la flore.
  • Etc.

En fin de compte, le vrai sujet n’est pas tant le réchauffement climatique que la capacité des humains à vivre en harmonie avec leur planète en utilisant durablement ses ressources.

Ce n’est pas une simple “lutte”, c’est un véritable programme de vie.

Articulé intelligemment, il pourrait redonner beaucoup de sens à la vie de nombreux citoyens.

Au travail !

Solidairement,

Julien

 

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118 Comments
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Mariejo
1 année il y a

Bien d’accord avec votre analyse, il faut continuer à évoquer régulièrement tous ces sujets et montre ce qui se fait et à quoi on peut se joindre merci

Patricia Conrath
1 année il y a

Bobjour!!!
Vous proposer de ne plus utiliser de béton, de bannir le plastique, entièrement d’accord, Mais vous ne mentionner pas l’élevage et ĺes immenses ressources dont il a besoin, en eau, en terre cultivables, la déforestation qu’il génére a travers la planète, la peche intensive et les dégâts que cela cause à l’océan et à ses habitants, alors alors si vous voulez être cohérent, paler aussi de végétaliser les assiettes!!!!

Moulin
1 année il y a

le problème des riches occidentaux c’est que leurs efforts pour réduire leurs émissions de CO2 ne servent à rien face aux pays en développement qui les augmente très vite . Les efforts européens n’auront aucun impact visible. L’écologie dans nos contrées c’est autre chose… mais ça fait moins peur… car il fait assez bon vivre en France .

Reconaître combien la Reproduction Forcée est au coeur des problèmes sociaux et environnementaux actuels. Le mouvement féministe international, dénonçait la Reproduction Forcée imposée par des vilences inouïes et des menaces,(point commun des populations du monde). Ce mouvement international a été anéanti lors d’attaques au vitriol durant une manifestation. La population mondiale est alors passée de 2,3 milliards à 7,3 milliards en seulement quelques décennies. Les ressources ne suffisent pas à cette augmentation sans vergogne de la démographie terrestre. Seuls quelques petits dictateurs véreux sont responsables de ces crimes humanitaires… RESPECT de la Faculté Sacrée, pour tout Être Humain, de édécider, à tout moment, de faire ou non un Enfant! Saine et Intelligente Gestion des Semences!! Amour Écologique, quoi!

Marie-Françoise PORRET
1 année il y a

moins de béton ???? Mais partout, dans toutes les villes il y a de plus en plus d’immeubles en construction sur des surfaces de plus en plus petites

C’est une honte que les maires ne soient pas plus conscients de l’erreur qu’ils font et ils devraient être sanctionnés

Gérard Bossu
1 année il y a

Cycle normal de la terre

Luc Prévost
1 année il y a

Le réchauffement climatique ne va pas se ralentir du jour au lendemain. Il est illusoire de penser qu’il suffit d’avoir de bonnes intentions pour le stopper. Le changement climatique s’autoalimente. Voilà 50 ans que des scientifiques nous le prédisent et qu’ils insistent sur le fait qu’il est irréversible. Mais les intérêts économiques priment sur la qualité de vie, et la Terre ne peut porter ni nourrir une population infinie et vorace, désirant s’enrichir et accéder au confort, se qui est louable et un sentiment humain naturel. Donc, il faut nous préparer au pire, voire à notre extinction pure et simple. Juste retour des choses, puisque nous sommes les pires prédateurs que la planète ait porté, condamnés à ne vivre que pour l’argent et acquérir des biens matériels. Même les textes religieux nous y incitent. Croissez et multipliez, enrichissez vous…
Dieu aurait pu dire : Ne sombrez ni dans la débauche, ni la confiscation, mais partagez. Mais Dieu n’est que la création des hommes et s’éteindra avec le dernier entre eux…

DANIEL EMOND
1 année il y a

Vous oubliez comme toujours la principale cause du réchauffement : la surpopulation et l’augmentation du nombre des humains. Plus nous serons nombreux, plus nous consommerons (par obligation) et plus les ressources s’épuiseront….CECI EST UNE VERITE INCONTOURNABLE.

bozena Henri Bozena
1 année il y a

Que font les gouvernements où est le justice pour les pollueurs ?

calvet anniea
1 année il y a

Comment voulez-vous convaincre les gens d;agir quand on voit ce qui se passe; on parle du développement durable et d’écologie et on vient nous dire qu’il faut développer l’éolien qui en fait détruit les sols d’une manière irréversible avec l’utilisation à outrance du béton et comme le dit le rapport celui-ci est en cause dans les émissions de gaz à effets de serre de la planète. Les politiques suivent les lobistes et l’argent que cela rapporte, mais en aucun cas ne protègent la planète. Agir au niveau local serait déjà un début et en dialoguant avec les citoyens, pas en montant des projets dans leur dos.

Cecily
1 année il y a

Merci pour cet article clair et lisible.
j’apprécierais davantage d’exemples simples et concrets de ce que l’on peut faire en tant que citoyens.
Notamment quoi substituer à nos «  mauvaises » habitudes.

Arthur
1 année il y a

Le plus important pour moi déjà ce serait d’arrêter d’avoir ce rêve débile qu’est la croissance continue (capitalisme quand tu nous tient…) Et surtout d’arrêter de détruire et raser le peu de vraie nature qu’il nous reste ! Comment pourrait on, encore aujourd’hui, vouloir raser une forêt primaire pour faire de l’huile de palme ou détruire un littoral naturel pour faire du béton ou exploser une montagne pour en extraire son minerai… Bien sûr je suis comme vous, ou du moins comme beaucoup d’autres, à profiter du confort qu’offre la technologie mais nous pourrions l’utiliser tellement mieux et plus inteligemment. Le pire c’est qu’on en est largement capables ! On doit juste redevenir humain !

TASSIN
1 année il y a

D’abord les membres du GIEC ne sont pas des experts ! Seuls certains le sont ( très peu ) il s’agit de strapontin diplomatique. Effectivement ils analysent différents rapports établis par des scientifique. Groupement Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat ( si on place expert s il manque un E. En anglais IPCC Intergouvernemental Panel Climatic Change. Reste que le climat varie, la responsabilité anthropogène est difficile à évaluer, quelques pourcents max. Il faisait plus chaud au moyen âge. Et enfin, si l’Artique se réchauffe, Antarctique dans sa grande majorité se refroidit ce qui paraît peu compatible avec les gaz à effet de serre qui se répartissent sur la globalité de l’atmosphère …
Il n’en reste pas moins que consommer de manière exponentielle des produits en nombre fini est idiot et je rejoins par là l’antigaspillage.

Nicole Durup
1 année il y a

Il me semble possible, quoique nécessitant de gros efforts, de se passer du plastique. Par contre, je m’interroge à propos du béton, donc du ciment. Par quoi le remplacer? revenir aux modes de construction d’autrefois? il faudrait probablement alors revenir à l’habitat individuel.

Francois DE G
1 année il y a

Merci Julien de ce super travail d’information qui encourage visiblement les lecteurs à faire leurs propres recherches !
Le résultat est édifiant et je me réjouis de lire qu’en dehors de 2/3 écervelés, les commentaires démontrent globalement une bonne perception de la part de nos concitoyens de la réalité, qui est bien loin du narratif de la propagande des lobbyistes du GIEC qui n’ont d’experts que le nom usurpé et délibérément mal traduit de l’anglais…
J’aurai plaisir à en parler de vive voix avec toi, ainsi que tant d’autres sujets !

Claude PERIGAUD
1 année il y a

C’est quand même curieux que tous ces articles et les travaux du GIEC ne posent JAMAIS la question d’où viennent ces dérives ?
Je vous invite à lire ‘l’Ordre étrange des choses » d’Antonio Damasio, qui fait prendre conscience que notre cortex est coupé de la physiologie. J’ajoute que ce que fait notre corps pendant que nous dormons ..n’a pas de valeur parce que nous ne sommes pas conscients.
Autre facette, comprendre ce qui est caché derrière le mot « monnaie ». Un AMPLIFICATEUR de NOS DEFAUTS NEURONAUX, eux même accélérés par certaines cultures (lire « Français, américains l’autre rive » qui explique que nos façons de protéger les enfants conduit à un mode de raisonnement basé sur la sécurité (donc, un peu de recul et d’abstraction), tandis que l’éducation « méthode piscine très tôt » oblige à se débrouiller en mode … court terme en se fichant des autres, sauf pour créer des équipes « focusées » sur un objectif bien manipulé.

Donc, travaillons les processus de création de valeur et construisons à coté de l’économie tueuse de planète, l’EcoBioNomie ou organisation centrée sur le respect du vivant..; Ce qui nous oblige à réfléchir..; 1- Le monde s’accélère > il faut passer au pilotage en vitesse (sortir du pilotage en position caractérisé par la mesure résultat, ce qui n’est plus suffisant) Pour piloter en vitesse, il faut penser « fonction » et pas seulement « résultat »… ce qui pose un sacré problème conceptuel vu le nombre de fonctions. On s’en sort en reprenant les techniques de mécanique quantique et en cherchant des INVARIANTS DU VIVANT… et là,on les trouve. Mieux, il s’avère que des civilisations des 5 continents se sont appuyées sur un ou deux invariants… D’où une superbe synthèse à faire qui implique potentiellement tout lemonde;...
Mais il faudrait que les scientifiques ne soient plus bloqués, par exemple, par l’interdiction depuis 1986 de financer les recherches fondamentales; !!!!.
Ce qui est d’autant plus agaçant qu’un nouveau système peut s’auto-financer si on comprend ce qui a interdit la valorisation des travaux de préparation du futur…

Le problème se résout avec une bonne architecture informatique, inspiré par les règles permettant la fiabilité du spatial….

Nous avons tous des possibilités formidables, coincées par des gens qui ne comprennent rien aux techniques systémiques et ne comprennent rien au fonctionnement du vivant…. qui est invisible pour notre cerveau !.

Anti Bureaucratie
1 année il y a

Au niveau du GIEC, il y a plusieurs problèmes !
Le premier c’est que ce n’est pas un groupe d’experts (le mot expert est absent du titre original en anglais) pour la bonne raison que la plupart des pays n’ont pas d’expert dans ce domaine. C’est un groupe de personnes « proche du gouvernement » envoyées là par leur pays, comme dans tous les autres comités de ce genre…
Le deuxième découle du premier: les rapports du GIEC n’ont donc pas de valeur scientifique, mais plutôt politique
Le troisième problème et le plus important c’est que le GIEC a réussi a nous faire croire que le CO2 est un poison destructeur produit par l’homme. En réalité le CO2 est absolument indispensable à toute vie et la part produite par l’oeuvre humaine est de l’ordre de 1 à 2%: ça n’a donc pas grande influence sur le climat
Ceci dit nous vivons incontestablement un changement climatique, comme nos ancêtres, et comme la terre en a connu des milliers puisque ces changements vers le haut ou vers le bas, sont cycliques et incessants.
Il serait bon que de vrais scientifiques (non gouvernementaux) s’y intéressent… tout simplement pour qu’on y voit plus clair. Et qu’on sorte de cette conception punitive de l’écologie qui est tout sauf scientifique !

Claude Brasseur
1 année il y a

MERCI pour votre initiative! Des changements climatiques, il y en a depuis toujours…. ceux de maintenant sont bien utiles aux personnes qui se remplissent les poches en vendant des énergies « vertes »…. pas vertes du tout, en réalité, et on ferait effectivement bien se s’occuper du vrai problème, la POLLUTION!!

Lefevre
1 année il y a

Même si cela vous semble trouver ttes des excuse pour ne pas respecter cette planète, donc pensez quand même que rien que l’air qu’on respire serait moin novice pour le vivant, rien que ça déjà serait bien apprécié…

Julien
1 année il y a

Peut’on faire confiance au GIEC, clairement non.
une organisation corrompue de plus pour faire accepter l’inacceptable.
Cherchez par vous même, cette organisation est une supercherie,
Regardez déjà quels sont les critères pour en faire partie : une blague.
Ensuite, trouvez les nombreux vrais climatologues et mathématiciens qui démontrent que les données du GIEC sont trafiquées…

Pourquoi créer une pétition ?

Il est important et nécessaire que les opinions et valeurs des citoyens soient prises en compte en permanence et pas uniquement au moment des échéances électorales.

Une pétition est un moyen d’action efficace, pour que les citoyens reprennent le pouvoir sur les combats qui leur semblent justes.

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